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« la fessée, questions sur la violence éducative » , d’Olivier MAUREL.

La Fessée… alors, il est pour ou contre? C’est la question que m’ont posé la plupart des gens m’ayant vu avec ce livre à la main… Contre, bien sûr! Quiconque me connait un peu sait que je n’ouvrirai pas un ouvrage vantant les mérites de la violence éducative (ou alors pour en démonter point par point le contenu). J’avais déjà entendu parler d’Olivier Maurel à plusieurs reprises, toujours en des termes élogieux. C’est ce qui m’a amenée à me procurer cet ouvrage. Il a mis des mots sur toutes les raisons qui m’ont poussée, consciemment ou non, à rejeter en bloc l’utilisation de la violence envers mes filles. La première partie répond à toutes les questions que l’on peut se poser (ou nous poser). Il nous renvoie aux incohérences, et à la dangerosité de l’utilisation de la fessée. J’ai pris conscience de toute l’ampleur des dégâts que peuvent causer toutes les violences éducatives, ordinaires, et la mauvaise foi de l’être humain est sans limites. Entre tour du monde de la violence faite aux enfants sous prétexte d’éducation, et tour du monde des alternatives à la violence éducative, Olivier Maurel dégage des pistes de réflexion A lire pour se forger un argumentaire pour achever de se convaincre, ou simplement pour amorcer une réflexion, une discussion.

D’ailleurs, bizarrement (?) ce livre, même achevé, a gardé une place de choix sur ma table de chevet… un livre-ressource?

 

« parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent« , de Faber et Mazlish

La communication non violente dans la famille tout un programme! _ Parents épanouis, enfants épanouis_ retrace l’histoire de deux mamans qui, inspirées par le psychologue Haim Ginott, ont changé leur façon de faire. _Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent_ est en fait un pas à pas que nous proposent ces mamans afin de nous guider vers cette autre communication dans la famille.

Elles conseillent de faire (environ) une étape par semaine, et la première étape, de 6, nous propose d’écouter nos enfants. En fait, je trouve que une semaine, c’est beaucoup trop peu avant de passer à la suite (qu’on pourrait décrire comme une communication efficace). Car alors, on pourrait être tentés de beaucoup parler pour obtenir ce qu’on veut de l’enfant, et ne plus l’écouter et encore moins se mettre à sa place. Il serait alors écrasé, et qu’il le soit sans punitions ni insultes ne légitime pas ce fait. On serait alors bien loin de la meilleure harmonie familiale tant vantée dans ce livre, accompagnée de la promesse d’enfants bien dans leur peau.

Celà dit, il est parfois difficile, et pourtant nécessaire, de s’exprimer sans blesser nos enfants, surtout lorsque nos sentiments sont très violents, ou qu’on se sent dépassé par la situation. Ces livres m’ont énormément apporté dans ce sens, et donné plein d’idées pour savoir quoi dire ou quand me taire, ou même me ressaisir, dans ces moments où on a du mal à être calmes et heureux ensemble…

pour moi, l’argument du faux choix pour dévaloriser le bouquin ne tient pas la route, car il s’appuie sur un BD prise hors de son contexte. Or, c’est l’argument « phare » des « contre l’approche Faber et Mazlich »…

Dans le contexte, cette BD est là pour nous aider à nous adresser à des enfants qui disent « non » tout le temps parce que c’est leur seul moyen de construire leur identité par rapport à nous.

Un exemple concret ici: Ermelinde, le matin, et depuis presque toujours, prend des tartines de beurre pas grillées, (et Anselme des tartines de pâte à tartiner grillées, quoique en ce moment, c confiture). Il m’est arrivé, pressée dès le matin et fatiguée d’une nuit cahotique, de lui dire de but en blanc « je te fais ta tartine » voire d’avoir anticipé et de lui avoir carrément fait sa tartine d’avance avant qu’elle ne la demande, et là, crise: « non, je veux une tartine de …. (n’importe quoi)  » bêtement, je m’exécute, elle se retrouve avec sa tartine et là re crise: « je voulais une tartine de beurre » (zeennnn on respire un grand coup, au pire je réchaufferai mon café s’il a trop refroidi) jusqu’à ce que je comprenne qu’elle voulait surtout que je lui demande son avis avant de la faire…

Car si elle accepte la tartine de beurre que je lui prépare sans qu’elle le demande, elle ne mange plus une tartine qu’elle a choisi parce qu’elle aime ça, mais une tartine qu’on lui a imposé (et que moi sa mère lui ai imposé, ce qui est encore pire que si c’était la grand mère). Or, elle a besoin de m’affirmer que nous sommes 2 personnes différentes, et qu’elle n’est pas moi, ce qui est évident pour moi, mais qui ne l’était pas forcément pour elle (bon, là, ça commence à l’être).

Et ne me prétez pas de mauvaise intentions quant à la tartine, je m’en fous complètement qu’elle mange une tartine de de beurre de chocolat, de rien, le reste de boeuf bourguignon de la veille ou carrément rien du tout! Le problème n’est pas la tartine, mais vraiment son besoin de se distinguer de moi!

Et moi, je suis fan de la méthode! seulement pour avoir fait l’atelier une première fois, et l’animer maintenant pour un groupe de la branche, je vois bien qu’il faut souvent redéfinir les choses: quand une maman dit « ça marche » ou « ça marche pas », elle sous entend généralement « il/elle a obéi » ou non, or, cette méthode n’est pas là pour nous faire obéir de nos enfants, mais pour qu’on parvienne à faire entendre nos besoins respectifs car elle part du postulat de base que nous sommes naturellement portés à accéder aux demandes des autres dès lors que nous nous sentons respectés dans la façons dont ils nous le demandent et dans l’acceptation de notre éventuel refus (ce qui sous entend qu’on doit aussi apprendre à accepter les refus de nos enfants…).

 

« Poser des limites à son enfant et le respecter », de Catherine Dumonteil-Kremer.

Petit bouquin très accessible qui a le grand mérite d’expliquer clairement et simplement comment accompagner ses enfants en les respectant. Il regroupe tout un tas d’astuces, de suggestions, de pistes pour nous soutenir dans nos pratiques quotidiennes.

Livre au ton très bienveillant, à lire, relire, feuilleter et offrir sans modération !

Extraits :

« Notre enfant va toute son existence apprendre à vivre dans le monde des humains. Si nous le respectons, il n’obéira pas aveuglément à des ordres, mais sera capable de comprendre les personnes et de choisir de faire ou non ce qu’on lui demande. »

« Les enjeux sont énormes, toutes les oppressions (le racisme, le sexisme, l’âgisme, le classisme, etc.) ont leurs racines dans celles que nous avons vécues en tant qu’enfant. »

extraits du sommaire :

  1. Poser des limites adaptées à la croissance de nos enfants
  2. Les conventions, traditions et règles de votre famille au stade bambin
  3. Je veux tout, tout!
  4. Vous êtes dans une impasse
  5. Vous vous sentez devenir dangereux pour vos enfants.

 

J’ai trouvé un bon compromis pour avoir l’occasion de lire et de ne pas me coucher à 2h du matin : les éditions Jouvence. Petit livre bien pratique et qui va directement au cœur du sujet. Ma grande question du moment est : comment lui poser les limites sans le blesser ou m’énerver. Ce qui n’est pas toujours facile certains jours.

Dans ce livre, Catherine différencie les catégories de limites ( les souples négociables, les traditions, les lois écrites) et donne des solutions pour adapter les limites selon l’âge des enfants : aménager son lieu de vie, proposer des activités stimulantes, ses besoins de bases sont ils comblés ?

Elle parle des différentes émotions de l’enfant, comment les accueillir, du besoin de nous ressourcer, l’écoute et bien d’autres encore.

La dernière partie parle de nous en tant que parents sur comment faire quand nous nous sentons dangereux envers eux car trop énervé à ce moment là. Ainsi que faire face aux nombreuses critiques des gens autour de nous.

Facile à lire, pleins de solutions aux situations de crise et de conseils pour mieux gérer les relations en famille ainsi que la qualité du dialogue.

Pratique et qui ne prend pas de place, il a su trouver sa place sur notre table de chevet lorsque le besoin de conseils pratiques se fait sentir.

Bonne lecture !!

 

« J’ai tout essayé »,  d’isabelle filliozat

Une phrase récurrente qu’on entend souvent dans la bouche des parents. Comment s’en sortir face aux crises, colère, pleurs, opposition ?

La période de 1 à 5 ans est parfois un parcours du combattant, que ce soit pour l’habillage, du rangement, les disputes à tout moment. Il faut parfois creuser pour connaitre la véritable raison. Une véritable mine d’or, avec de jolies illustrations pour les mises en situation, des éclairages scientifiques pour mieux comprendre.

Comme Isabelle le dit dans son premier chapitre, un enfant c’est plus compliqué qu’une plante verte !!

Petit guide de survie pour les parents.

Bonne lecture, un livre à ne pas louper.

 

 

« Porter bébé Avantages et bienfaits », de Claude-Suzanne Didierjean-Jouveau

Petit, clair, convaincant, ce livre nous rappelle succinctement mais efficacement le pourquoi du comment du portage. Après sa lecture, on fourmille d’arguments, on se sent plus serein, plus sûr de nos choix et on se demande même pourquoi tout le monde n’est pas convaincu par le portage long et intensif !

Bouquin à faire circuler absolument, il est limpide et très accessible !

Extrait: « La beauté du portage, c’est qu’il permet au parent de remplir facilement ces deux tâches principales : répondre aux besoins de son enfant (en l’occurrence le besoin de chaleur et de contact) tout en l’ouvrant au monde. »

Morceaux choisis du sommaire :

  1. Le « porte-bébé » 1ère invention humaine?
  2. Le portage à travers les siècles et les continents
  3. Confort et sécurité
  4. Allaitement et sommeil
  5. Développement de l’enfant
  6. C’est bon aussi pour les parents
  7. Que répondre si l’on vous dit que …

 

« Elever mon enfant aujourd’hui », du Dr Edwige Antier

guide pratique des parents (Robert Laffon)

Ce livre se veut un guide, à l’attention des parents pour les accompagner de la naissance à l’adolescence de leur enfant. Du coup, les sujets sont souvent survolés, mais c’est le pendant de ce genre de bouquin. On peut quand même noter les grands nombres de points abordés et le côté « rassurant » pour les futurs parents qui ne savent pas trop ce qui va leur arriver. Ce que je trouve très positif dans ce manuel c’est qu’il est vraiment tout public et n’est pas du tout destiné à une population sensibilisée par les thèmes de l’enfance. On trouve tout le long des extraits de témoignages de parents lambda qui posent des questions banales, des exemples du quotidien, et ça fait du bien.

Edwige Antier parle avec justesse et mesure de sujets difficiles ou tabous, elle trouve les mots appropriés pour aborder la non-violence éducative. Elle écrit, elle raconte, mais n’essaie pas de convaincre, chacun prend ce qu’il veut sans se sentir jugé.

Bref, pour moi c’est un super livre d’introduction quand on apprend qu’on va être parent et qu’on est un peu perdu.

Grandes lignes du sommaire :

  1. 1 à 3 mois
  2. Reprendre le travail
  3. 3 mois à 1 an
  4. De 3 à 6 ans
  5. De 6 à 11 ans
  6. Votre adolescent
  7. Difficultés familiales
  8. Portraits d’enfants
  9. Vaccinations
  10. Problèmes de santé
  11. Petites et grandes maladies
  12. soins

Extrait de la préface ; « Alors, tout au long de ce chemin, nous allons cheminer, de page en page. Je serai à vos côtés pour vous aider à trouver la meilleure solution, la vôtre, pour un être unique : votre enfant ! »

 

« Mon bébé bio L’alimentation naturelle de la maman et du bébé », de Ralf Moll et Ute Schain-Emmerich

C’est un bon support si comme moi vous êtes un peu perdus dans les méandres des conseils contradictoires que vous pouvez recevoir sur l’alimentation.

Le livre est assez riche en explications sur la diététique mais il sait rester concis et ne nous décourage pas dès le deuxième chapitre. Tous les conseils ne sont pas forcément à suivre au pied de la lettre, mais les auteurs donnent des pistes simples pour contribuer à nous nourrir sainement et c’est finalement ce qu’on attend.

 

« Partager le sommeil de son enfant », de Claude-Suzanne Didierjean-Jouveau

-Est-ce qu’il fait ses nuits ?

Cette question vous l’avez souvent entendue, mais vous n’avez jamais trop su quoi répondre.

Dans ce petit livre vous apprendrez la réalité sur le sommeil des enfants, pourquoi il fait SES nuits mais pas VOS nuits. Les pratiques qui pourront vous aider à passer de meilleures nuit ( cododo,…), comment les mettre en applications et pourquoi.

Il vous montrera qu’en France nous sommes bien les seuls à nous poser autant de questions sur le dodo. Les différences entre certains pays et la France avec des statistiques.

Il vous donnera également quelques arguments face aux mauvaises langues qui peuvent vous entourer. Et le tout accompagné de petits témoignages de mamans.

Encore un livre de Claude-Suzanne Didierjean-Jouveau à ne pas louper !! Un petit livre qui tient dans sa poche c’est bien qu’il y a une raison, c’est qu’on en a besoin 😉

 

« Loczy ou le maternage insolite », de Myriam David et Geneviève Appell

On entend beaucoup parler de Loczy sur le fait que l’accueil du petit enfant est très différent de ce qu’on fait habituellement, les personnes de crèches sont parfois « formées à Loczy ou Emmi Pikler », voilà le livre qui parle des observations, rencontres et discussions qu’on fait les deux auteures à l’Institut Pickler à Budapest.
Les observations sont livrées brutes puis accompagnées d’explications sur la façon de faire, le but. Ce qui est frappant c’est la place donnée à l’enfant, surtout quand on sait que les observations datent des années 70 et la création de l’Institut d’après la seconde guerre mondiale.
Les principes directeurs de l’institut sont les suivants :

  1. valeur de l’activité autonome : de là découle notamment la motricité libre avec l’idée de ne jamais mettre un enfant dans une position où il ne sait pas se mettre. L’adulte ne cherche pas à faire faire quelque chose à l’enfant, il est accompagnant mais ne sollicite pas.
  2. valeur d’une relation affective privilégiée : l’organisation de l’institut permet que chaque enfant ait une nurse référente qui effectue les soins et donne les repas. Le moindre changement est longuement réfléchi.
  3. nécessité de favoriser chez l’enfant la prise de conscience de lui-même et de son environnement : pendant les soins par exemple on fait appel à la participation de l’enfant, en lui parlant, en le regardant, en profitant au départ des gestes involontaires pour accomplir le soin.

J’ai trouvé que ce livre dégageait une douceur et une grande sérénité, tout semble couler tout seul. Même si évidement il y a parfois des pleurs et des soucis ceux-ci sont bien moindres que dans des structures équivalentes.

Actuellement l’institut Emmi Pikler n’accueille plus d’enfant en situation difficile mais a un fonctionnement plus proche de nos crèches ou halte garderie française.

 

  • fatigue-emotionnelle

 

 

 

 

 

 

 

 

« La fatigue émotionnelle et physique des mères », de Violaine Guéritault

Violaine Guéritault aborde ici le « burn out » des mères. Le « burn out » est un phénomène défini par trois composantes principales qui se présentent sous les formes des stades successifs :

  1. Epuisement émotionnel et physique

L’individu qui se trouve dans cette phase a épuisé l’ensemble de ses ressources intérieures mobilisées de façon prolongée pour faire face à une situation stressante. Il n’a plus rien à donner en termes d’énergie physique, émotionnelle et psychologique. Il n’en peut plus et ne parvient plus à réagir.

  1. Dépersonnalisation et distanciation

L’individu doit continuer à faire face malgré son incapacité à gérer la situation ; Il va alors se distancer physiquement et émotionnellement du facteur de stress qui l’épuise. La personne se met dans une sorte de stand-by.

  1. Reniement des accomplissements passés, présents et futurs et baisse de la productivité

Privée de ses forces et de son énergie, la personne à ce stade perd confiance en elle et en ce qu’elle fait. Elle ne correspond pas à ce qu’elle voudrait être et elle le sait. L’angoisse et le doute sont omniprésents, et son image d’elle-même devient négative, ce qui l’amène à une autocritique souvent sévère.

L’épuisement physique et émotionnel est déclenché par plusieurs facteurs, la charge de travail, l’absence de contrôle (sentiment d’impuissance), l’imprévisibilité, l’absence de reconnaissance, le manque de soutien social, le stress (les situations mais aussi  touts les stresseurs quotidiens et répétés : le bruit, le manque de sommeil, le fait d’attendre encore et toujours), l’absence de formation pratique et l’importance de la valeur assignée au travail.

La fin du livre est consacrée aux solutions, en voici quelques unes qui m’ont le plus parlées :

  • Sélectionner les obligations les plus essentielles :
    • Faire l’inventaire de vos obligations
    • Développer des standards de qualités réalistes : par exemple pour le ménage viser le bien propre plutôt que le parfaitement propre
  • Identifier les sources de stress auxquelles vous êtes le plus sensibles

Pour agir sur ce stress, la première chose est de reconnaître la réalité de notre expérience et d’identifier les sources de stress qui accompagnent nos responsabilités maternelles. Il s’agit ensuite de trouver les moyens efficaces pour réduire l’impact de ce stress. Malgré cela une grande partie de ce stress sera toujours hors de notre contrôle. C’est là que notre vision personnelle peut modifier les données du problème. La situation est immuable, la façon dont elle est perçue peut être négative ou positive. Cette attitude nous offre une sensation de contrôle.

J’ai lu ce livre à un moment où j’en avais vraiment besoin. Voir ce que je ressentais transposer en mots, en phases m’a beaucoup aidé. Le parallèle avec le monde du travail est intéressant ainsi que l’analyse de tous les facteurs de stress. Concernant les pistes il y a beaucoup de choses que l’on sait déjà mais comme toujours cela fait du bien de les relire. Il y a également un chapitre pour les papas (et pour les autres d’ailleurs) pour se rendre de ce que peuvent vivre les mères.

 

 

 

 

 

 

 

« Aimer nos enfants inconditionnellement« , de Alfie Kohn

J’ai mis très longtemps à lire ce livre ! Parce qu’il m’a bousculée, questionnée. Il est très argumenté en diverses études. Il est dense. Il fait un tour très complet de la question. Pour lire ce livre jusqu’au bout, j’ai fait des pauses, pour me laisser le temps d’intégrer un peu les idées entre chaque partie. J’en ai probablement oublié, je suis bien loin d’avoir assimilé toutes les notions que l’auteur apporte.

J’ai culpabilisé en le lisant parce que clairement : OUI je transmets encore bien souvent à mes enfants des messages d’amour conditionnel.

Ce livre parle de l’amour inconditionnel, de l’amour conditionnel, de comment cela fonctionne sur les enfants. Et surtout que le plus important c’est ce que l’enfant ressent.

Il parle aussi du contrôle que nous exerçons sur nos enfants, de ce que l’on demande à nos enfants.

Pour finir, Alfie Kohn nous dit : « Cela demande un courage immense de reconnaitre qu’on était sur le mauvais chemin, et un tel courage est un excellent présage pour l’avenir. »

Nous ne pourrons jamais donner trop d’amour inconditionnel à nos enfants, alors n’hésitons pas, commençons dès aujourd’hui !